Première ligne des adénocarcinomes avec mutations activatrices classiques de l'EGFR : l'association osimertinib plus chimiothérapie est-elle la meilleure solution ?
Par
le Pr Denis
Moro-Sibilot (CHU GRENOBLE - GRENOBLE)
[Déclaration de liens d'intérêts]
-
4 mars 2025
Les inhibiteurs de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR représentent le traitement de référence des CBNPC avec mutations de l’EGFR. En dépit de l’enthousiasme initial, des défis thérapeutiques persistent encore en clinique.
L’osimertinib, un ITK EGFR de troisième génération, améliore la SSP par rapport aux ITK de première génération, en particulier chez les patients présentant des métastases du SNC.
L’article explore les possibilités d’associer l’osimertinib à une chimiothérapie ou à d’autres médicaments pour améliorer l’efficacité du traitement et retarder la progression cérébrale.
L’association osimertinib-chimiothérapie a donné des résultats prometteurs avec une amélioration de la SSP et de la SG mais au prix d’effets secondaires plus importants.
Cette option thérapeutique est à discuter pour les populations les plus à même d’en bénéficier.
L’osimertinib, un ITK EGFR de troisième génération, améliore la SSP par rapport aux ITK de première génération, en particulier chez les patients présentant des métastases du SNC.
L’article explore les possibilités d’associer l’osimertinib à une chimiothérapie ou à d’autres médicaments pour améliorer l’efficacité du traitement et retarder la progression cérébrale.
L’association osimertinib-chimiothérapie a donné des résultats prometteurs avec une amélioration de la SSP et de la SG mais au prix d’effets secondaires plus importants.
Cette option thérapeutique est à discuter pour les populations les plus à même d’en bénéficier.