Résumé : Le traitement de référence en première ligne des adénocarcinomes métastatiques de l’estomac a été, pendant plusieurs décennies, une bichimiothérapie à base de sels de platine avec une médiane de survie globale ne dépassant pas 1 an. Il y a 15 ans, l’étude TOGA montrait l’intérêt de rajouter le trastuzumab à cette bichimiothérapie pour les tumeurs avec un statut HER2 positif, qui devenait ainsi le premier biomarqueur pour le cancer de l’estomac. Ces dernières années, un nombre important de biomarqueurs ont démontré leur intérêt dans la sélection des patients pour un traitement par immunothérapie avec des anticorps anti-PD1 en cas de tumeurs PD-L1 positives ou dMMR/ MSI, ou par zolbetuximab pour les tumeurs claudine 18.2 positives. Ces médicaments, en association avec une bichimiothérapie, ont permis d’améliorer significativement la survie des patients.
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